Toutes à vélo

Les berrichonnes de l’Indre se rendent à Toulouse !

Nous avons vécu avec « Toutes à vélo » de belles histoires d’amitiés. Nous vous proposons de revivre le récit de Claudine et de sa joyeuse troupe.

Claudine Langlois est licenciée au club de La Châtre Cyclotourisme dans l’Indre.

C’est en compagnie de neuf féminines et de deux accompagnateurs masculins qu’elles ont fait un beau voyage de l’Indre jusqu’à Toulouse pour rejoindre les équipages féminins et les festivités de « Toutes à vélo ».

Claudine est une habituée des grands voyage à vélo. Elle a pour habitude de partager cela sur ses blogs qui permettent à ceux qui n’ont pas la chance de partir de vivre par procuration des aventures à vélo.

C’est par des textes et des photos, qu’elle partage sa passion pour le vélo et le tourisme. Nous vous proposons de revivre le voyage à Toulouse à travers ses récits au jour le jour.

Récits du voyage vers Toulouse par Claudine Langlois

 

Samedi 4 septembre 2021

Temps beau, température douce

7 h 30, nous avons rendez-vous à la mairie de La Châtre. Patrick Judalet et quatre conseillers nous attendent déjà, nous sommes au complet, neuf féminines Béatrice (notre cadette), Brigitte, Claudine, Danielle, Françoise, Marie-Noëlle, Mireille, Monique et Sylviane (notre vétérane) et nos accompagnateurs, Dominique et Michel, notre chauffeur.

Une belle réception nous attend dans la salle du conseil de la mairie, nous sommes gâtées dès le matin : croissants, pains au chocolat et café sont offerts par la municipalité.

Quelques mots de bienvenue de monsieur le maire, quelques mots de remerciements de notre part avant la traditionnelle photo de départ avec Madame la Sous-Préfète de La Châtre qui nous a fait les honneurs de venir nous saluer avant le départ et Madame Selleron, conseillère départementale. Patrick Judalet nous donne le départ, nous sommes applaudies par les membres du club et les édiles. Un des cyclos de La Châtre nous a accompagné quelques kilomètres.

L’itinéraire nous emmène à Crozon-sur-Vauvre, Aigurade, Dun-le-Palestel, Grand-Bourg où nous avons déjeuner. À quelques kilomètres de Grand-Bourg une grosse averse est venue perturber notre progression. Arrêt pour bâcher ! Heureusement le soleil est revenu pour le pique-nique. Bénévent-l’Abbaye impose un arrêt photos.

À 17 h 30, enfin Thauron. Pas facile de trouver notre hébergement, mais quelle classe !  Trois roulottes au milieu d’une belle prairie, un gîte dans des murs séculaires et quelques ruines d’une ancienne abbaye cistercienne.

En résumé : 97 km, moyenne 15,18 km/h, dénivelé positif  de 1 293 m ; étape réalisée par l’ensemble du groupe, dans une bonne ambiance et dans les temps prévus.

Dimanche 05 septembre 2021

Temps : brouillard à 7 h – température assez douce. Le petit-déjeuner pris vers 7 h annonce une bonne journée de pédalage.

Départ à 8 h 30, sans l’une d’entre nous qui voyagera en mini-bus ; le brouillard s’est levé sur l’abbaye un grand soleil brille le départ se fait par une bonne côte. Dans les vallées des nappes de brouillard persistent. En une heure  nous sommes à Bourganeuf ; une petite visite de la ville en particulier les Tours Lasyic et Zizim, la belle église. Sur le perron le prêtre attend les motards pour bénir les « bêtes rugissantes » et nous propose de bénir nos petits « destriers »  mais nous ne pouvons pas attendre l’heure de la bénédiction.

Dominique, parti promptement ce matin est allé ranger sa voiture au lieu du pique-nique et est venu nous rejoindre à vélo ; la jonction s’est faite après l’arrêt café à Sauviat-sur-Vige.  

La route départementale qui nous emmène à Saint-Léonard-de-Noblat est large et roulante, de belles descentes et des côtes douces nous permettent d’arriver dans cette belle ville rapidement. Nous ne manquons pas un passage au cimetière pour nous recueillir sur la tombe de Raymond Poulidor. Une grande pensée pour ce coureur. Visite de la vieille ville aux rues étroites et aux passages voûtés. La collégiale  a retenu toute notre attention car certaines de ses chaises ont été fabriquées par la famille Contarin. Le baptistère circulaire est séparé de la collégiale.

Direction Boisseuil pour notre pique-nique à Eyjeaux où deux invitées surprises se sont jointes à nous. Camille est venue rejoindre sa mamie Claudine grâce à sa maman qui l’a accompagnée jusqu’au lieu du pique-nique.  Bon déjeuner, tomates des jardins des cyclotouristes berrichonnes, poulet et rôti cuits apportés du Berry, pâté berrichon préparé par Pierrette et confié à notre chauffeur, et pour le dessert des petits gâteaux en tout genre cuisinés par les cyclotes.

Le nouveau départ est un peu difficile, la chaleur est écrasante, les côtes sont dures et la circulation sur la grande route est importante. Nous décidons de quitter cette grande départementale pour emprunter les petites routes mais les côtes sont encore plus pentues et plus dures ! Enfin voici Nexon, son château et le pôle du cirque, malheureusement fermé, nous ne voyons que la structure extérieure du « Circus ».

Il est 17 h 30 quand nous arrivons au camping de Saint-Hilaire-les-Places après 79 km. À notre arrivée dans les bungalows tous les bagages étaient sortis du véhicule accompagnateur, un peu plus de temps libre pour nous et pour celle qui est allé « piquer une tête » dans le lac au pied de nos petits logements.

En résumé : 79,5 km – Moyenne : 15,8  km/h – Dénivelé positif : 1 179 m 

Toutes à vélo

Suite des aventures de dimanche


Quelques kilomètres avant Nexon, au bord de la route, un beau jeune homme très souriant filme notre groupe de cyclotes. Nous sommes très surprises de tant d’attention, Sylviane lui dit « on va à Toulouse », cette personne n’est pas surprise de cette information et lui répond « Oui je sais ». Nous continuons notre route nous demandant bien pour quel journal ou info locale cette personne travaille. Le soir venu Sylviane nous apprend que ce beau jeune homme est son petit-fils qu’elle n’a pas reconnu. Quelle rigolade !
 

Lundi 6 septembre

De Saint Hilaire les Places à Montignac

La température est douce, il fait encore grand nuit les brumes matinales et le soleil levant augurent une belle journée. Pas de bruit, le chant des oiseaux accompagne notre pédalée, deux chevreuils courent dans un champ, l’humidité du matin exhument les senteurs des foins coupés, des chèvrefeuilles et autres noyers. Route facile, des descentes douces nous donnent l’élan pour la côte suivante.

À 9 h nous sommes déjà à Saint-Yrieix-la-Perche. Nous croisons une cyclote bien chargée qui se rend aussi à Toulouse mais par un autre itinéraire. Au rond-point de la RD 704 nous voyons passer notre véhicule assistance. Un arrêt technique nous permet de modifier le planning initial et d’envisager le pique-nique après la visite de Hautefort.

À 11 h nous sommes à Hautefort, plus d’une demie-heure d’avance au planning prévu, nous montons à pied jusqu’au château. Ce château du XVe siècle a été restauré plusieurs fois. En 1968 un incendie le détruit, il est alors restauré par la Baronne Bastard. Quelques photos, puis reprise de notre itinéraire, un passage dans le centre de cette petite ville où de nombreuses statues jalonnent les rues.

Le lieu du pique-nique à Saint-Rabier est judicieusement trouvé par Dominique. Déjeuner rapide, la crainte d’une arrivée trop tardive à Lascaux IV nous donne des ailes. Une erreur de direction à un rond-point nous rallonge de 5 km. Personne ne râle pour cette erreur car à la lecture de la carte routière nous constatons qu’un nouvel itinéraire longeant la Vézère nous amène facilement à Montignac. Nous arrivons à notre hébergement à 15 h. Le Bleufond, Centre international de séjour est notre lieu d’hébergement. Les bagages sont déjà descendus du véhicule, une douche rapide et nous repartons en minibus pour la visite de Lascaux IV.

Mardi 7 septembre

De Montignac à la Capelle Biron

Lever très tôt  à 5 h 30, les prévisions météo annoncent de fortes chaleurs – température 16 ° C. Le départ prévu 7 h ou quand on sera prêtes. La Vézère est le fil rouge de ce matin, température idéale pour rouler, terrain plat et de belles demeures le long de l’itinéraire.

Au bout de à peine 5 km,  nous faisons un arrêt devant un beau château, Losse, quelques kilomètres encore, c’est Saint-Léon-sur- Vézère. Quel point de vue du pont métallique ! On s’écarte un peu de la vallée, une bonne côte pour se réchauffer, on aperçoit les falaises calcaires de la Roque-St-Christophe. Les eaux ont usé la roche, les gouffres se sont formés, les villages troglodytes sont visibles.

Les Eyzies-de-Tayac,  au km 21, nous cherchons monsieur Cro, dans nos souvenirs il est sous une falaise au bord de la route, malgré nos recherches rien. À défaut de monsieur Cro nous photographions madame Cro devant la falaise, derrière, bien emmitouflé dans des bâches l’homme de Cro Magnon se refait un lifting.

Continuons notre balade en Périgord Noir, dans les prés les compagnies d’oies attendent les fêtes de fin d’années. À droite ou à gauche de notre route de belles demeures dominent la vallée ; en fond de vallée les fermes sont bien rénovées. Nous avons évité le piton de Belvès grâce à nos gentlemen driver Monpazier et sa bastide sont notre lieu de pique-nique.

Une place ombragée à côté de l’église, des bancs de pierre et tout est parfait mais tout est réservé pour les entreprises qui travaillent à la rénovation de l’église. Les tailleurs de pierres qui se sont formés à la Fo.Re.Pa.Be nous ont gracieusement autorisé à nous installer sous les arbres. Après déjeuner visite de la bastide, la place du marché et ses arcades, les carreyrous (petites ruelles), les belles demeures. Il faut tout de même se sortir de cet endroit reposant.

15 km pour finir notre journée en passant par Biron et son château imposant. Les photographies favorisent les rencontres ; Sylviane trouve sur le chemin un monsieur Breton de Port-Louis, nous discutons un moment. L’arrivée au Centre de vacances Le Bosc Nègre de La Capelle-Biron n’est pas des plus facile ! La piscine nous attend, bon moment de détente, la baignade favorisant les discussions, Michel se fait interpeler par une dame le connaissant. Une castraise de naissance, professeur au lycée G. Sand est en séjour au Bosc Nègre.

Mardi 8 septembre

De La Capelle-Biron à Villeneuve-sur-Lot.

Encore un jour où on se lève tôt –  en cause la chaleur annoncée – température : 16°C  à 6 h 30 Le petit-déjeuner pris, les bagages bouclés, le véhicule chargé, la photo de départ est faite avec nos hébergeurs. Route facile dans les bois et les plantations de noyers dont l’odeur agréable nous envoûte. 

Villeréale est à 12 km de notre départ, premier arrêt pour faire la visite de cette bastide, les bastides seront le fil rouge de la journée. C’est une petite bastide dont la halle est magnifique. La charpente est très travaillée, au 1er étage de la halle est installée la radio locale. Le long de notre chemin nous trouvons des décors très beaux entre autres des poupées de chiffon grandeur nature et des fleurs faites en tissu et en tricot.

Encore 13 km et nous voilà à la bastide de Monflanquin. Nous empruntons une rue pavée pour monter sur la place principale.Une belle place entourée d’arbres, la maison du Prince Noir est ici, visibles de la rue un buste et une statue grandeur nature sont présentées au 1er étage de la maison.

Arrivés à midi à Villeneuve-sur-Lot, nous décidons de pique-niquer sur le lieu de notre hébergement. Le directeur de l’établissement nous aide à tout mettre en place, nous lui offrons l’apéritif et déjeunons vite fait pour repartir continuer la balade le long du Lot.

Sur les conseils de Pascal, notre hôte, nous trouvons rapidement la voie cyclable qui nous emmène directement au centre ville. Dominique s’est joint aux quatre cyclotes décidées à faire valider le carnet de route à la Parade. L’autre groupe, emmené par Michel, part visiter la Parade et Pujols. Les uns et les autres sont très déçu par le village de la Parade. Même si le point de vue sur le Lot est magnifique, même si la petite halle et son puits sont beaux, il n’y a plus de vie dans ce village privé de commerces.

Le retour des cinq cyclotouristes se fait rapidement car le temps commence à se dégrader, un vilain gros nuage gris-noir menace. Bien sûr à 8 km environ de l’hébergement quelques gouttes obligent à nous couvrir et préserver les sacoches. Une pluie torrentielle s’abat soudainement. Deux de cinq cyclos décident de rentrer à vélo malgré la pluie, les trois autres attendent l’arrivée du « messie », Michel accompagné de sa copilote Monique, avec mini-bus et remorque pour rapatrier Mireille, Brigitte et Béatrice.

La soirée s’est terminée bien au chaud à table alors qu’un orage violent s’abattait sur la région.

En résumé : petit itinéraire : 50 km ; itinéraire long 113 km

 

Jeudi 9 septembre

De Villeneuve-sur-Lot à Lauzerte.

Pour ne pas changer nos habitudes nous nous levons tôt, après l’orage d’hier et la grosse, très grosse pluie du début de nuit, ce matin le temps est brumeux et doux. Le petit-déjeuner pris avec notre hôte, le véhicule chargé, les sacoches fermées, nous partons avec un guide, Pascal notre hébergeur. Pas besoin de chercher notre route.

Nous arrivons facilement à Penne-d’Agenais mais… en bas du village, ce qui est à voir c’est la cité médiévale, alors grimpons ! Dans cette partie de la ville les rues ou plutôt les ruelles sont pavées avec des petits galets rond, de surcroît elles sont très pentues, nous montons en poussant les vélos mais c’est très dur ! La basilique Notre-Dame de Peyragude est imposante ; un peu à l’écart les grottes dont celle de l’apparition.

Il est difficile de quitter Penne-d’Agenais mais il faut bien continuer notre route. Le groupe se sépare. Tandis que les cinq plus courageuses partent pour visiter les sites retenus par notre Fédération les quatre autres rejoignent Lauzerte par la route la plus directe. De beaux paysages, de jolis villages mais aussi des côtes. Ce matin avec l’humidité de la nuit nous humons les senteurs, les noyers, le thym, la bruyère, et tant d’autres. Le pique-nique a l’entrée de Lauzerte a permis de rencontrer les cyclotes de Mayenne, une cinquantaine, arrêtées pour déjeuner. Notre Sylviane, connue comme le loup blanc, a encore trouvé des copines.

Nous, les cinq « courageuses », sommes parties sans trop de ravitaillement, nous devrions en trouver sur notre route mais…. rien à Hautefage,  comme son nom l’indique n’est pas en bas mais sur une butte, c’est encore beau village, nous le traversons, les enfants de l’école primaire nous interpellent et nous demandent où nous allons ; ils ont même envoyé un ballon sur la rue pour que je leur ramasse et leur redonne, ils  souhaitent prolonger la conversation.

À La Roque-Timbaut, un petit marché nous permet d’acheter une fougasse. Nous nous perdons et cherchons pendant plus d’une demie-heure notre chemin, un aller-retour de 5 km, descente puis côte au retour. Enfin les GPS Garmin et Google nous indiquant le même itinéraire nous décidons de les suivre. Ils nous envoient sur des petites routes escarpées et nous arrivons à Saint-Maurin vers 13 h 15, tout est fermé, il n’y a rien pour pointer notre passage, il n’y a pas de restaurant, il n’y a pas de commerces. Nous déjeunons ici du peu qui reste dans les sacoches. Nos collègues du Perreux, plus prévoyantes que nous, finissent leur déjeuner. Photo de famille !

Direction Lauzerte, notre étape, nous sommes dans la vallée, moins de côtes dures, tout parait se finir tranquillement. On ressent quand même la fatigue. À une cinq kilomètres de l’arrivée, peut être six, une surprise nous attend. Nous sentons quelques gouttes, l’instant de nous vêtir, de préserver sacoches, téléphone et appareil photos, la pluie devient un peu plus forte, nous décidons de continuer. Elle devient plus drue puis une averses diluvienne s’abat sur nous. Nous cherchons notre hébergement, nous sommes à côté. Avant d’entrer dans les locaux nous profitons d’une terrasse couverte pour nous déshabiller, tendre les fils à linge et pendre tous nos vêtements mouillés. 

Nous dînons dans un restaurant près du gîte des Carmes.

En résumé : 82,9 km – Dénivelé positif : 1 044 m

En compagnie de Martine Cano, présidente de la Fédération.

 

Vendredi 10 septembre

De Lauzerte à Toulouse

Dernière étape, pas de changement dans les horaires de réveil, ceux qui font le blog dorment peu mais sont quand même en forme le matin.

Les vêtements mis à sécher sont autant mouillés que la veille. Il faut démonter les cordes à linge, ranger le gîte avant notre dernier petit déjeuner et notre ultime départ. Après la pluie il faut penser à huiler les chaînes, Dominique se transforme pour une grosse demie heure en réparateur vélo ; vérification des mécanismes, resserrage de garde-boue, etc.

Nous chargeons une dernière fois les bagages dans le minibus, appelé « camion » tout au long du voyage.

À 8 h départ par un temps mitigé, des nuages menaçants, un peu de brume mais il fait doux. Pour notre dernier départ le relief ne nous épargne pas, une côte de plus  de  3 km à 8 % de pente nous conduit à Durfort- Lacapelette. D’après le roadbook Moissac est à 15 km, en réalité nous en faisons 26, personne ne râle c’est le principal.

Visite de Moissac, du  cloître où nous y retrouvons Martine Cano, notre présidente fédérale, et les copines de Sylviane, de l’église mais malheureusement le vitrail de Chagall habituellement exposé dans une chapelle est actuellement prêté pour une exposition. Par manque de temps nous ne sommes pas passées au pont tournant, nous empruntons directement la voie cyclable, dans la mauvaise direction au départ, pour atteindre le pont canal qui enjambe le Tarn, les prés et la route. Le fil de la journée sera le canal, soit à notre droite, soit à notre gauche ; les seules côtes sont les passages d’écluses, elles sont très courtes mais il faut prendre un bon élan.

Pique-nique à Grisolles où Dominique, en bon samaritain, a réussi à trouver un lieu a côté de la voie cyclable. Michel quant à lui, nous a attendu quelques heures pour conserver cet endroit très prisé des cyclotes qui se rendent à Toulouse.

À partir de l’écluse de Saint-Jory nous sommes accompagnées dirigées par un membre de l’UC Toulouse. Il nous commente les lieux où nous passons et nous amène jusqu’à notre hôtel.

Nous sommes arrivées !

Retrouvez l’intégralité du voyage à Toulouse directement sur le blog : https://lesberrichonnesdelindre.blogspot.com/

 

Pour découvrir les autres aventures de Claudine

La Corse : voyagesavelodeclaudine.blogspot.com    

Le Danube : voyagesavelodeclaudine2.blogspot.com 

De La Châtre à Nice : voyagesavelodeclaudine3.blogspot.com 

 

Texte : Jean-Pierre Giorgi / Claudine Langlois – Photos : Claudine Langlois
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