La communauté de communes des sources du Lac d’Annecy aménage son Territoire Vélo

Olivier Pelissier, responsable du service environnement à la Communauté de communes des sources du Lac d’Annecy, nous parle du développement des mobilités douces sur son territoire.

Lors du dernier Salon des maires et des collectivités locales, qui s’est tenu à la Porte de Versailles à Paris, la Fédération française de cyclotourisme avait comme chaque année un stand pour présenter ses activités et promouvoir ses labels « Base VTT » et « Territoire Vélo »  auprès des collectivités.

Dans ce cadre, la Fédération a accompagné et décerné deux labels à la Communauté de communes des sources du Lac d’Annecy. Le premier pour une « Base VTT » et le second pour son « Territoire Vélo ».

Nous avons rencontré son responsable et échangé sur les perspectives vélos.

Rencontre avec Olivier Pelissier, responsable du service environnement à la Communauté de communes des sources du lac d’Annecy.

Notre politique d’aménagement du territoire à destination des cyclistes nous a permis d’obtenir dans un premier temps le label de « Base VTT » puis plus récemment celui de « Territoire Vélo ».

Dans un souci de transition écologique, les élus, les habitants sans oublier les clubs convergent vers la création d’un schéma de mobilité active qui aura pour vocation de capitaliser sur le réseau existant pour inscrire les habitants dans une mobilité douce au quotidien.

La chose n’est pas facile quand les infrastructures existantes sont principalement conçues pour le loisir et le tourisme.

Pour remédier à cela, à court et moyen terme, nous envisageons la création d’une « autoroute » vélo, qui s’appuie sur une structure existante depuis une dizaine d’année : la Voie verte. Cette voie, permettra de relier et de communiquer avec l’ensemble des communes.

Ensuite, elle reliera les villages par des voies sécurisées à destination des points de vie décides par les élus. Cela peut être des écoles, des collèges, mais aussi les services, les mairies, etc.

Notre système d’interconnexion s’appuie sur des réseaux existants. Nous devons maintenant les améliorer par le biais de signalétiques, d’équipements et de discussions avec tous les acteurs de la ville. Car ce qui sera bon pour l’un, ne le sera pas forcément pour l’autre.

Texte et vidéo : Jean-Pierre Giorgi – Photo : Jean-Luc Armand
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