Nutrition – Le plaisir de bien manger
Le plaisir de bien manger
« Bon pour les ventres, mais aussi bon pour les bouches » pour citer un enfant de trois ans à qui une dame faisait remarquer que la sucette qu’il dégustait n’était pas « bonne pour son ventre ». À l’époque il voulait être clown–cuisinier.
Pour ce qui nous concerne, l’idéal est que ce soit bon pour notre santé, mais également agréable pour nos papilles gustatives. Nous sommes capables, sur une période limitée, d’accepter une nourriture inhabituelle qui ne flatte pas vraiment nos palais, mais pas suffisamment longtemps pour stabiliser et en faire une nouvelle habitude alimentaire.
Si nous n’avons que peu d’appétence pour les légumes il nous faut apprendre à les cuisiner. Quelques principes afin qu’ils gardent à la fois leurs qualités nutritionnelles et leur saveur : un mode de cuisson adapté et utiliser des épices plutôt qu’un excès de sel.
Et le hors cadre ?
Très souvent les recommandations concernant l’alimentation, en particulier pour les sportifs, donnent l’impression qu’il faut « entrer en ascétisme » et respecter strictement règles et principes. Ici nous ne voulons convertir personne. Tout au plus permettre à certains de profiter de ces mois qui se profilent pour modifier sensiblement leurs habitudes alimentaires. Pour gagner en capital santé et pour réduire leurs dépenses alimentaires.
Mais soyons bien d’accord : pour la santé, c’est l’alimentation au quotidien qui importe. Bien évidemment, quelques plaisirs « hors cadre » doivent trouver leur juste place. Tout cyclotouriste se doit, c’est évident, de goûter aux spécialités régionales. Ça fait partie du voyage et des plaisirs de la vie.
Qui n’a pas goûté aux galettes saucisses / cidre breton (à défaut de lait Ribot) à la Semaine fédérale de Loudéac ?
Extrait d’un article issu de la revue Cyclotourisme n°727– octobre 2022. Si vous n’êtes pas abonné, vous pouvez commander les numéros à l’unité sur notre boutique fédérale.