Paris-Brest-Paris des Jeunes 2019 : Journée chassé-croisé
Départ plus « cool » que la veille. L’étape s’annonce plus courte et moins accidentée. Le parcours reste néanmoins vallonné avec, en prime, la côte de Bécherel dès le 10e kilomètre. Nous ne tardons pas à croiser les premiers randonneurs, étrangers pour la plupart. Échanges de sourires et d’encouragements. Échanges de bonjours avec Dominique Lamouller, notre vice-président, en route pour Brest.
Les spectateurs le long de la route se font de plus en plus nombreux et enthousiastes. Certains installent même une table avec des boissons, des gâteaux, du café. Les jeunes découvrent cette ambiance… On commence à entendre : « Dans quatre ans, j’y serai ! » et des « Non, c’est pas pour moi. »
Le contrôle de Tinténiac est animé. Courte halte avant la pause déjeuner. Prochain objectif, Fougères. L’arrêt au contrôle est précédé d’une visite des sites caractéristiques de la ville. Nous ne manquons pas la porte Notre-Dame qui nous permet d’accéder au château.
Un coup d’œil sur les lavoirs et les chaudières avant la dure montée vers le jardin public. « La côte la plus dure du Paris-Brest-Paris des Jeunes ! » avait annoncé René, directeur du séjour. Affirmation vérifiée. La côte à la sortie de Fougères n’est pas mal non plus ! Et toujours le défilé des participants plus ou moins « frais », plus ou moins « faciles ».
Gorron et le gîte de la Colmont ne sont plus très loin.
À suivre…