La revue Cyclotourisme : de la ronéo à l’imprimeur

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Naissance d’un bulletin fédéral
Une vraie revue
Enfin Cyclotourisme
Une revue de prestige
Erreur fatale
De la ronéo à l’imprimeur
Obligatoire ou facultative, telle est la question
Album de famille

La Fédération est heureusement reprise en main par une nouvelle équipe volontaire et efficace. La revue continue car son existence est nécessaire. En 1955, elle est toujours ronéotypée mais avec un titre imprimé en vert. Elle est plus ou moins étoffée selon les mois mais maintenant sérieusement gérée. Fin 1955, le tirage est porté à 1 000 exemplaires. De 1960 à 1962, elle est tirée à Toulouse par Albert Bures et sa jeune équipe de l’Union cyclotouriste toulousaine, puis c’est au siège de la FFCT à Paris. Elle est mensuelle et le restera.

© Collection Raymond Henry

© Collection Raymond Henry

En 1963, on la dote d’une modeste couverture imprimée, toujours la même. On met 11 ans à effacer le traumatisme du malheureux épisode de 1951-54. L’un des grands mérites de l’équipe du président Léon Creusefond est de relancer Cyclotourisme sous forme imprimée en 1965, alors que les finances sont encore serrées. Ce sont 12 pages aux petits caractères, équivalentes aux trente pages ronéotypées d’auparavant, illustrées de quelques photos. Peu à peu, la revue s’améliore. En 1976, le format change et passe à 24 x 32, mais deux ans plus tard on reviendra au format initial 20,5 x 28.

Texte et illustrations : Raymond Henry
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