Au gui l’an neuf !
Curieux végétal que cet arbrisseau ligneux qui se développe en touffes vert mat ou jaunâtres sur certaines espèces d’arbres. Ses hôtes privilégiés sont le pommier et le peuplier. Très rare, le gui du chêne était chez les peuples celtiques l’objet d’une vénération religieuse entretenue par la légende des druides à la serpe d’or et vêtus de blanc… et popularisée par le célébrissime Panoramix. Après l’extinction de ce culte, le symbolisme est resté très fort et l’expression « Au gui l’an neuf ! » la perpétue encore de nos jours.
>>> Pour en savoir plus : relire la revue Cyclotourisme n°413 de janvier 1994
Texte et photo : Gérard Hamon