Le tour de France de Martine, un défi symbolique et humanitaire
Un défi humanitaire
Trois défis, un même but humanitaire et un même rituel :
1999 : 50 ans – 50 jours – 50 étapes.
2004 : 55 ans – 55 jours – 55 étapes.
2019 : 70 ans – 70 jours – 70 étapes.
Elle a roulé pour des classes d’enfants aveugles et déficients visuels. Elle roulera pour l’Association départementale des infirmes cérébraux moteurs, une association de Haute-Savoie au sein de laquelle elle trouve les appuis nécessaires à une telle entreprise.
Un projet solidaire et vecteur de lien social
Les mairies des villes étapes vont l’accueillir, des clubs, des cyclos vont l’accompagner un bout de chemin et offrir quelques euros. Des anonymes vont l’héberger. Une marraine et un parrain de choix sont à ses côtés : Christine Janin, médecin et alpiniste, première Française à avoir grimper au sommet de l’Everest, première femme au monde au Pôle Nord, fondatrice et directrice de l’association « À chacun son Everest » et Benjamin Daviet, triple champion paralympique, qui vient de remporter le globe de la coupe du monde de biathlon handisport.
Ce voyage, Martine le dédie à ses parents qui lui ont donné le goût de l’effort et du dépassement de soi. Cette « culture » lui fut bien utile tout au long des 27 mois de rééducation qui lui furent nécessaires pour se remettre de l’accident dont elle fut victime en 2011, causé par un automobiliste imprudent. La gendarme qui vint recueillir sa déposition sur son lit d’hôpital, va lui offrir le gîte lors de son passage à Besançon ! Miracle des réseaux sociaux qui ont permis ces retrouvailles.
Suivre et aider Martine dans son projet
Si vous aussi, souhaitez l’accueillir, rendez-vous sur sa page Facebook ; à ce jour, il lui manque 35 hébergements.
Martine l’affirme : « La réussite individuelle et la réussite collective sont inséparables ! ».
Pour la suivre : www.septantaide.fr et sa page Facebook